BRAVO airbus

pas parano tahitibob, juste réaliste

Aux dernières news, on parle maintenant d'une victoire...d'Airbus ET de Boeing! comprendre que le marché serait partagé entre les deux avionneurs. Décision non finale, et part indéterminée pour chacun de toute façons. Ne pas choisir peut il être un choix?

bah c'est une bonne technique pour contenter chacun...D'un côté les Européens dont on a besoin pour sortir de la crise (de plus cela apporte également des emplois aux USA) et de contenter l'électorat Américain en lui montrant que l'on favorise une solution nationale. Cela permettrait également de résoudre un problème rapidement et de commander des avions en urgence pour remplacer les KC-135 à bout de potentiel.
Après au niveau opérationnel...je pense pas que ce soit pas la meilleure solution, ni au point de vue économique d'ailleurs.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/03/08/eads-renonce-au-marche-des-ravitailleurs-americains_1316337_3234.html

Et voila comment se termine l'aventure d'EADS ! Même si on se doutait du "The End" à l'Américaine depuis des mois.
Maintenant, je ne sais pas comment Boieng va tenir les délais, les coûts, s'ils partent sur une nouvelle plateforme (type 787) pour la création de leur ravitailleur ou si ils restent sur leur offre initiale qui apparemment ne plaisait pas vraiment à l'Air Force.
Va y avoir du spectacle et des rebondissements dans les prochaines années. Un peu à l'image du F35.

Un point de vue intéressant:
http://www.aerobuzz.fr/spip.php?article606

Tout n'est peut-être pas fini ...
(vive le poker menteur)

http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/jean-guisnel/ravitailleurs-pourquoi-boeing-a-battu-airbus-25-02-2011-1299491_53.php

Bonjour à tous, ça faisait un bail Allez, un petit "déterrage" de topic...

Dans les news, bad news pour EADS , et fin (?) de la saga sur le renouvellement de la flotte des ravitailleurs US. On prend les mêmes et on recommence, la victoire va (retourne? re-retourne?) à Seattle et Boeing...A la longue, j'en avais presque oublié ce marché, je pensais ne pas connaître le verdict de mon vivant